CSE UES BATIGROUPE
Menu icoMenu232White icoCross32White

Images de la page d'accueil

Cliquez pour éditer

Texte, bouton et/ou inscription à la newsletter

Cliquez pour éditer
Bienvenue sur le site du CSE de l'UES de BATISANTE
Vous avez dit DIALOGUE SOCIAL?

Ajoutez un logo, un bouton, des réseaux sociaux

Cliquez pour éditer
  • CSE UES BATIGROUPE
  • Le CSE UES BATISANTE ▴▾
  • Contacts ▴▾
    • Contactez-nous
    • Nos permanences
  • Se connecter
  • Contactez-nous
  • Nos permanences

Qu'est ce qu'un CSE?

Le Comité Social et Economique (CSE) est depuis le 1er janvier 2020, la nouvelle instance représentative du personnel, (obligatoire, à partir de 11 salariés). Il est né de la fusion des anciens DP- CE-CHSCT.

Qu'est ce que l'UES de BATISANTE ?

UES signifie Unité Economique et Social. Elle permet de regrouper dans le même CSE tous les salariés du groupe.
Ainsi, les salariés de l'UES Batisanté (AP3D, Azurtech, Christal, DEP, ETB, Groupe Batisanté, Sagex, Valmi, Volt'air, 01 Contrôle) ont élu pour 4 ans, 26 représentants. 26 élus, dévoués pour vous informer, vous aider dans vos démarches, répondre à vos interrogations... vous représenter. Et aussi, vous dénicher des offres et avantages dans le cadre des activités culturelles et sociales.

Le CSE a pour mission d’assurer une expression collective des salariés permettant la prise en compte permanente de leurs intérêts dans les décisions relatives à la gestion et à l’évolution économique et financière de l’entreprise, à l’organisation du travail, à la formation professionnelle et aux techniques de production. C’est dans ce cadre, et sur les questions dont la liste est fixée par le code du travail ou par accord, qu’il doit, notamment, être consulté par l’employeur avant toute prise de décision.

Notre CSE, pour assurer ses missions, au regard de notre effectif, (supérieur à 300) dispose  de commissions obligatoires. Parmi celles-ci, la Commission Santé, Sécurité et Conditions de Travail (CSSCT). Vous retrouverez nos différentes commissions avec leurs attributions à la rubrique commissions dans les pages suivantes.

Attardons-nous un peu sur la CSSCT:

L'article L 4121-1 du code du travail dispose:

L'employeur prend les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs.

Ces mesures comprennent :

1° Des actions de prévention des risques professionnels, y compris ceux mentionnés à l'article L. 4161-1 ;

2° Des actions d'information et de formation ;

3° La mise en place d'une organisation et de moyens adaptés.

L'employeur veille à l'adaptation de ces mesures pour tenir compte du changement des circonstances et tendre à l'amélioration des situations existantes.

 

Que chacun comprenne bien que sa santé est son outil, son atout, sa ressource principale afin de bien la préserver. C'est notre bien le plus précieux. La santé doit se conjuguer avec la sécurité. Les 2 doivent aller de pair.

Plus que jamais, vos élus vont redoubler de vigilance en la matière pour aider dans cette tâche. Les textes précisent bien "santé physique et mentale". Dans notre UES, le parent pauvre demeure la santé mentale. Pas grand monde ne s'en préoccupe vraiment. Pour preuve, nous avons des chiffres, depuis des années, sur les accidents physiques, corporels... Rien pour nous indiquer une quelconque attention à la santé mentale. Des responsables, surtout eux, puisqu'il faut les nommer; quand bien même ils n'ont pas le monopole en la matière, se permettent des actions  d'humiliations publiques, de brimades, de propos désobligeants... Bref des pressions de toute sorte.

Afin de protéger la santé mentale de tous les salariés, y compris celle des "agresseurs", (car quelques fois, ils sont eux même en souffrance), vos élus ont décidé d'aider sérieusement la direction à remplir ses obligations. Nous prendrons toutes les mesures utiles et nécessaires, notamment le "droit d'alerte" si nous y sommes obligés. Cela occasionnera, certainement, des désagréments. Cependant, ceux-ci ne constitueront que des conséquences. Si l'on ne veut pas les conséquences, il faudra éliminer à la source, ce qui cause la conséquence... En clair, lutter farouchement, sans complaisance  contre tout ce qui peut altérer la santé. La tâche sera rude et c'est pour cela que nous demandons l'aide de chacun. Que chacun devienne profondément l'artisan de la protection de sa  propre santé ainsi que celle de son entourage.  Main dans la main, solidairement, faisons de notre mieux.

Aucune précaution ne doit nous faire défaut, il en va de notre propre bien être.

En vue de poursuivre ensemble le travail, nous vous laissons méditer ces 2 articles du code du travail:

 

Article L2312-59

  • Modifié par Ordonnance n°2019-738 du 17 juillet 2019 - art. 15

Si un membre de la délégation du personnel au comité social et économique constate, notamment par l'intermédiaire d'un travailleur, qu'il existe une atteinte aux droits des personnes, à leur santé physique et mentale ou aux libertés individuelles dans l'entreprise qui ne serait pas justifiée par la nature de la tâche à accomplir, ni proportionnée au but recherché, il en saisit immédiatement l'employeur. Cette atteinte peut notamment résulter de faits de harcèlement sexuel ou moral ou de toute mesure discriminatoire en matière d'embauche, de rémunération, de formation, de reclassement, d'affectation, de classification, de qualification, de promotion professionnelle, de mutation, de renouvellement de contrat, de sanction ou de licenciement.

L'employeur procède sans délai à une enquête avec le membre de la délégation du personnel du comité et prend les dispositions nécessaires pour remédier à cette situation.

En cas de carence de l'employeur ou de divergence sur la réalité de cette atteinte, et à défaut de solution trouvée avec l'employeur, le salarié, ou le membre de la délégation du personnel au comité social et économique si le salarié intéressé averti par écrit ne s'y oppose pas, saisit le bureau de jugement du conseil de prud'hommes qui statue selon la procédure accélérée au fond.


Le juge peut ordonner toutes mesures propres à faire cesser cette atteinte et assortir sa décision d'une astreinte qui sera liquidée au profit du Trésor.

NOTA :

Conformément à l'article 30 de l'ordonnance n° 2019-738 du 17 juillet 2019, ces dispositions s'appliquent aux demandes introduites à compter du 1er janvier 2020.

 

Article L2312-60

  • Créé par Ordonnance n°2017-1386 du 22 septembre 2017 - art. 1

Un membre de la délégation du personnel au comité social et économique exerce les droits d'alerte en situation de danger grave et imminent ainsi qu'en matière de santé publique et d'environnement dans les conditions prévues, selon le cas, aux articles L. 4132-1 à L. 4132-5 et L. 4133-1 à L. 4133-4.

NOTA :

Conformément à l'article 9 I de l'ordonnance n° 2017-1386 du 22 septembre 2017, les présentes dispositions entrent en vigueur à la date d'entrée en vigueur des décrets pris pour leur application, et au plus tard le 1er janvier 2018.

Pour pouvoir consulter les pages de ce site, vous devez être un membre du personnel, vous enregistrer et vous connecter.

 

Création du compte

Des remarques ou des suggestions sur le site ?

 

  • Plan du site
  • Licences
  • Mentions légales
  • CGUV
  • Paramétrer les cookies
  • Se connecter
  • Propulsé par AssoConnect, le logiciel des associations Professionnelles